Il pleut : au feu !
09/01/25 09:09 Catégories : Environnement | Finances
Los Angeles brûle. Laissons de côté les bonnes âmes qui considèrent que c'est une affaire de « people » et de nantis, et les « ouin ! c'est tout de la faute au réchauffement climatique ! ». Toutes nos pensées vont vers nos amis. Quand on aime les États-Unis d'Amérique, on ne peut qu'avoir le cœur qui saigne.
Après quelques années de développement de la végétation favorisé par une météo arrosée, une sécheresse exceptionnelle est le principal facteur déclencheur de la catastrophe. Cette catastrophe est sans doute aggravée par le vent (contraire), mais peut-être plus encore par une politique ou une non-politique d'aménagement du territoire [Trump, sors de ce corps ! ], des permis de construire délivrés (ou pas) en dépit du bon sens et de la loi, une certaine déshérence des politiques publiques dans des domaines cruciaux de la sécurité liée à ce que d'aucuns appellent encore l'environnement.
L'heure est au sauvetage, à la mise en sécurité des personnes (et des animaux) et des biens, à la lutte acharnée contre des flammes qui deviennent hors de tout contrôle.
Mais ça ne vous dit rien tout ça ? Quiconque a connu, démuni, avec une certaine frayeur, la rapidité de développement de simples feux de broussailles, qui a vu le résultat de l'incendie de la forêt d'Orelle, etc., ne peut s'empêcher d'être inquiet pour notre bucolique et chaleureuse commune, pour notre belle Maurienne (entre autres).
Celles et ceux qui se posent en protecteurs exaltés de la forêt, voire de l'arbre en tant qu'individu [c'est bien, ça part d'un bon sentiment, mais les voies de l'enfer…], des malheureuses fraises des bois (souvenir de cueillettes dans des forêts communales aujourd'hui en piteux état) qui tombent sous les coups de la débroussailleuse des bords de routes, celui que nous parle d'un "PCS" en n'évoquant que la panne de deux cars, celles et ceux qui sont obsédés par des dépenses d'argent public dans des projets sans le moindre intérêt public (il faudrait voir à sortir de sa bulle), porteront une énorme responsabilité quand des événements catastrophiques, jamais réellement pris en compte, porteront une atteinte grave aux personnes et aux biens.
Comme une prise de conscience concrète est sans doute illusoire avant d'avoir à le vivre dans nos chairs (le nez dans la "mmmeeuh" © quoi), au moins prenons acte ici du jemenfoutisme général. C'est le moins que l'on puisse faire, avec les bras qui tombent.
Après quelques années de développement de la végétation favorisé par une météo arrosée, une sécheresse exceptionnelle est le principal facteur déclencheur de la catastrophe. Cette catastrophe est sans doute aggravée par le vent (contraire), mais peut-être plus encore par une politique ou une non-politique d'aménagement du territoire [Trump, sors de ce corps ! ], des permis de construire délivrés (ou pas) en dépit du bon sens et de la loi, une certaine déshérence des politiques publiques dans des domaines cruciaux de la sécurité liée à ce que d'aucuns appellent encore l'environnement.
L'heure est au sauvetage, à la mise en sécurité des personnes (et des animaux) et des biens, à la lutte acharnée contre des flammes qui deviennent hors de tout contrôle.
Mais ça ne vous dit rien tout ça ? Quiconque a connu, démuni, avec une certaine frayeur, la rapidité de développement de simples feux de broussailles, qui a vu le résultat de l'incendie de la forêt d'Orelle, etc., ne peut s'empêcher d'être inquiet pour notre bucolique et chaleureuse commune, pour notre belle Maurienne (entre autres).
Celles et ceux qui se posent en protecteurs exaltés de la forêt, voire de l'arbre en tant qu'individu [c'est bien, ça part d'un bon sentiment, mais les voies de l'enfer…], des malheureuses fraises des bois (souvenir de cueillettes dans des forêts communales aujourd'hui en piteux état) qui tombent sous les coups de la débroussailleuse des bords de routes, celui que nous parle d'un "PCS" en n'évoquant que la panne de deux cars, celles et ceux qui sont obsédés par des dépenses d'argent public dans des projets sans le moindre intérêt public (il faudrait voir à sortir de sa bulle), porteront une énorme responsabilité quand des événements catastrophiques, jamais réellement pris en compte, porteront une atteinte grave aux personnes et aux biens.
Comme une prise de conscience concrète est sans doute illusoire avant d'avoir à le vivre dans nos chairs (le nez dans la "mmmeeuh" © quoi), au moins prenons acte ici du jemenfoutisme général. C'est le moins que l'on puisse faire, avec les bras qui tombent.
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